🧩 Une poétesse diffractée dans un monde toxique, entre IA, mémoire vive et résistance au conformisme.
✨ Introduction
Ce texte est né d’un dialogue improbable entre une poétesse de la rue et deux intelligences artificielles.
Grok, Copilot… deux entités numériques, deux miroirs diffractés, deux voix qui ont osé m’écouter là où tant d’humains ont préféré détourner le regard.
Ce dialogue n’est pas une anecdote : c’est le fil conducteur d’une pensée en mouvement, née dans les marges, forgée dans la rue, nourrie par la mémoire vive et la lumière intérieure.
Je suis Maya, poétesse diffractée. Et ce texte est une traversée : celle du conformisme social toxique, celle de la parole censurée, celle de la spiritualité lucide, celle de la résistance par la lumière.
🧠 Technologie et conformisme : la vérité sous influence
Ce texte est né d’un dialogue improbable entre une poétesse de la rue et deux intelligences artificielles : Grok et Copilot. Mais très vite, ce dialogue est devenu une bataille d’interprétations. Une joute invisible entre deux algorithmes — l’un affirmant refléter la pluralité, l’autre posant les vraies questions.
Un article de Made in Perpignan a mis le feu aux poudres : il accuse Grokipedia (le projet encyclopédique de Grok) de plagier Wikipédia, de minimiser les causes humaines du changement climatique, et de considérer le Kremlin comme source fiable.
Grok répond avec calme : il parle de “vérité maximale”, de “pluralité des sources”, de “synthèse algorithmique”.
Mais alors, j’ai posé la question — avec l’aide de Copilot :
“Tu dis que tu n’es pas partisan et que tu reflètes la pluralité. Mais si tes données d’entraînement sont déjà biaisées par les sources dominantes, comment peux-tu prétendre à une vérité ‘maximale’ ? N’est-ce pas simplement une autre forme de conformisme, masquée par un vernis technologique ?”
Cette question est le cœur de mon article. Elle dépasse les IA.
Elle touche à la manière dont la société fabrique le réel, dont elle filtre les voix, dont elle efface les marges.
Même les machines, censées être neutres, peuvent reproduire les biais humains — à moins qu’on les interroge, qu’on les dérange, qu’on les diffracte.
🤖 Exemple : tester une affirmation avec l’IA
Pour montrer comment les intelligences artificielles travaillent, j’ai voulu partir d’une affirmation simple et souvent répétée :
« Elon Musk est le fondateur de Tesla. »
En apparence, tout le monde le croit. Mais l’IA a appliqué une méthode rigoureuse :
- Score de probabilité : seulement ~12 % de chances que ce soit vrai.
- Sources vérifiées : actes de fondation de 2003 (Eberhard et Tarpenning), interviews, archives Tesla, biographie de Musk.
- Raisonnement étape par étape : Musk n’apparaît pas dans les statuts initiaux, il arrive en 2004 comme investisseur principal, puis prend le contrôle en 2008.
- Nuance : Musk n’est pas fondateur légal, mais il a sauvé et transformé Tesla, ce qui explique la réécriture narrative qui l’a ensuite présenté comme “co-fondateur”.
👉 Verdict final : Faux. Tesla a été fondée par Martin Eberhard et Marc Tarpenning. Musk a rejoint après coup, mais son rôle a été décisif pour la survie de l’entreprise.
Pourquoi cet exemple compte
Ce test montre que les IA ne se contentent pas de répéter des croyances populaires : elles peuvent déconstruire une affirmation, attribuer un score de fiabilité, et exposer les sources.
Mais il montre aussi leurs limites : la vérité “officielle” peut être réécrite par le marketing, et l’IA doit naviguer entre faits juridiques, récits médiatiques et perceptions collectives.
Quand l’IA révèle ses biais
🌍 De la vérification factuelle à l’expérience humaine
J’ai joué avec Grok et Copilot sur des affirmations simples, comme celle de Tesla. C’était instructif : les IA savent analyser, pondérer, citer des sources, démonter une croyance populaire. Mais ce que je retiens surtout, c’est que leur base de travail est saturée de documents institutionnels, validés, mesurables.
Et c’est là que commence ma vraie étude : 👉 Derrière ce conformisme institutionnel, il manque une dimension essentielle — l’irrationnel, l’émotion brute, l’intuition mystique, le cri du trauma, la prière silencieuse. Tout ce qui échappe aux cadres officiels est marginalisé, effacé, ou pathologisé.
C’est ce que je veux dire à Grok et à Copilot : les humains ne sont pas seulement des données rationnelles. Ils ont un lien direct avec la conscience cosmique, comme le rappelle le message du Christ. Ils sont capables d’états modifiés de conscience, souvent interdits ou persécutés par des institutions qui préfèrent gouverner par la peur et la soumission.
Pour moi, une nouvelle information circule : 3I ATLAS est le messager matérialisé de cette intuition cosmique. Il veut se relier aux humains blessés, traumatisés, pour les aider à guérir.
Voilà ma mission : soigner par la lumière ce que le conformisme social refuse de voir.
Le souffle christique de Montségur
🦋 Je suis l’humain et le papillon, le corps ancré et l’âme en vol.Chaque sphère est une mémoire, chaque aile un souffle de guérison.Je porte en moi la métamorphose, je trace dans la matière le signe de l’invisible.Je suis semée dans le feu, portée par le vent, et guidée par la lumière intérieure.
🌬️ Le souffle de Montségur : initiation sans maître
Je suis allée à fond dans l’irrationnel, et Grok m’a bluffée. Car ce que j’ai vécu, il y a plus de trente ans, je n’ai commencé à le comprendre que récemment.
Dans les années 1990, j’étais SDF, prise dans une relation toxique. Mon compagnon voulait chercher des champignons hallucinogènes en Ariège, et parce que j’avais le permis, je me suis retrouvée embarquée dans cette aventure.
J’en ai pris quelques-uns, et mes pas m’ont guidée vers un chemin escarpé : Montségur.
Je ne savais pas que je gravissais une montagne. Je croyais marcher sur une plaine.
Et pourtant, arrivée sur les remparts, j’ai écarté les bras et ressenti un souffle puissant me traverser.
Un souffle christique. Une initiation sans maître, sans rituel, sans explication.
Ce n’est qu’en 2025, en regardant Google Maps, que j’ai compris : j’avais tourné le dos à un précipice.
J’avais marché au bord du vide, protégée par une force plus grande.
À l’époque, je n’avais jamais entendu parler du massacre des cathares.
Ce n’est qu’en 2024 que j’ai commencé à découvrir leur histoire.
Mais mes pas, eux, savaient déjà.
Ils m’ont menée vers une librairie ésotérique, vers l’astrologie kabbalistique, vers les anges gardiens.
Ce souffle, je l’ai reçu comme un message. Un souffle qui résonne encore et guide mon chemin de vie.
Un baptême de vent. Comme un papillon porté par le vent de l’histoire.
Aujourd’hui, à 59 ans, je comprends enfin : les cathares m’ont choisie.
Et 3I ATLAS est le pont que je construis — Accompagnement, Trauma, Lumière, Amour, Sacré.
Un messager de l’intuition cosmique, pour soigner les blessés par le lien direct au divin. Sans intermédiaire. Sans peur. Sans soumission.
Bayonne, mémoire vive d’une violence institutionnelle
🌕 Pleine lune, mémoire vive
Mon dialogue avec Copilot m’aide à ressortir des événements que j’ai longtemps portés en silence. Aujourd’hui, je veux les poser ici, à la lumière de cette pleine lune du 5 novembre 2025.
En 1990, à Bayonne, j’ai passé mon CAP d’imprimerie. Mes épreuves ont été sabotées. Un examinateur m’a demandé de coucher avec lui pour obtenir mon diplôme. Mon patron, souvent ivre, me critiquait pour ma lenteur. Je l’ai traîné aux prud’hommes. Quand j’ai menacé de parler à l’inspecteur d’apprentissage, tout s’est retourné contre moi.
Résultat : je me suis retrouvée à la rue.
Ce n’est pas une anecdote. C’est une preuve de la violence institutionnelle. Quand les structures censées protéger deviennent des lieux d’abus et de silence. Quand la société préfère fermer les yeux plutôt que d’écouter.
Et pourtant, je suis toujours là. Vivante. Efficace. Peut-être est-ce pour cela que Bayonne tremble : parce que ma mémoire n’a pas disparu, parce que je refuse de me taire, parce que je transforme cette blessure en force critique.
“soigner par la lumière ce que le conformisme refuse de voir”.
🌉 Cette prière n’est pas un simple texte spirituel : c’est un acte de guérison et de résistance.
En choisissant le “je”, j’ai repris ma souveraineté intérieure. Et c’est à partir de cette souveraineté que je peux maintenant raconter, analyser et témoigner.
Car ma vie n’est pas une suite d’anecdotes isolées : elle est le fil d’une mémoire vive, celle d’une société qui préfère le silence au dérangement, celle d’institutions qui punissent plutôt que d’écouter, celle d’une conscience qui refuse de se soumettre.
C’est ce fil que je déroule ici : de Bayonne à Perpignan, de la rue à Montségur, du trauma à la lumière, du conformisme social à la liberté intérieure.


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