Signez pour exister : trois pétitions pour changer les règles


📣 Trois combats, une même urgence : celle de redonner du pouvoir aux citoyens.

Face à la numérisation sauvage, à la précarisation des locataires et à la mise en spectacle de la misère, il est temps de dire stop.

Ces pétitions ne sont pas des cris dans le vide — ce sont des leviers d’action, des appels à la dignité, des refus de l’indifférence.

Je vous invite à les lire, les signer, les partager. Parce que chaque voix compte. Parce que le silence n’est plus une option.

🗣️ Les quartiers ont une voix — il est temps de l’écouter.

Trop souvent, la pauvreté est mise en scène, instrumentalisée, transformée en contenu viral. Derrière l’“effet Nasdas” et la marchandisation de la misère, ce sont des vies, des familles, des dignités qu’on expose sans leur donner les moyens de s’exprimer autrement que par le buzz.

Cette pétition est un appel à la décence, à la justice, à la reconnaissance des quartiers comme des espaces de vie, de culture, de résistance — pas comme des vitrines pour likes et storytelling opportuniste.

Nous refusons que la précarité devienne un spectacle. Nous exigeons des politiques publiques qui écoutent, soutiennent et investissent dans les vraies voix des quartiers.

Titre Lien Signature Pétition : Les quartiers ont une voix : contre la marchandisation de la misère et l’effet Nasdas 

Décideuse/décideur : Viviane Sambéat

Le problème

À l’attention du gouvernement, des élus locaux, des institutions éducatives et culturelles, et des plateformes numériques

📣 Contexte

Depuis trop longtemps, les quartiers populaires sont ignorés, stigmatisés ou instrumentalisés.

Aujourd’hui, un nouveau phénomène inquiètant :

l’effet Nasdas, c’est-à-dire l’influence croissante d’un acteur numérique sur des populations marginalisées, souvent exclues du débat démocratique.

Nasdas, influenceur très suivi sur Snapchat et TikTok, capte l’attention de milliers de jeunes en jouant sur l’émotion, le sentiment d’appartenance, et la mise en scène de la pauvreté.

Ce pouvoir d’influence, non régulé, devient une forme de contrôle social parallèle, fondé sur la marchandisation de la misère.

⚠️ Ce que nous dénonçons

Une exploitation émotionnelle et économique des quartiers populaires à des fins de visibilité et de profit.
Un blocage cognitif chez les jeunes, enfermés dans des récits qui les éloignent de l’éducation, de la citoyenneté et de l’émancipation.
Une déconnexion totale entre les institutions politiques et les habitants des quartiers, qui se tournent vers des figures numériques faute de représentation réelle.
Une absence de régulation des influenceurs qui monétisent la précarité sans responsabilité sociale.

✊ Ce que nous demandons

Reconnaissance de l’effet Nasdas comme phénomène social et politique
Lancement d’une étude publique sur l’impact des influenceurs dans les quartiers populaires.
Organisation d’un débat parlementaire sur la régulation de l’influence numérique.
Encadrement éthique des influenceurs
Transparence obligatoire sur les revenus issus des plateformes.
Interdiction de monétiser des contenus exploitant la précarité ou la vulnérabilité sociale.
Revalorisation des quartiers populaires
Création de médias citoyens locaux pour redonner la parole aux habitants.
Soutien aux initiatives culturelles, éducatives et artistiques portées par les quartiers eux-mêmes.
Investissements dans l’éducation, la formation et l’accès à l’information.
Refondation du lien politique
Réforme du dialogue entre institutions et quartiers marginalisés.
Lutte contre le clientélisme et pour une représentation authentique des citoyens.

🖊️ Conclusion

Les quartiers ont une voix. Ils ne sont pas des décors pour vidéos virales ni des terrains d’expérimentation sociale.

Ils sont peuplés de femmes, d’hommes, de jeunes, de familles qui méritent respect, dignité et reconnaissance.

Nous exigeons que les institutions prennent leurs responsabilités, que les influenceurs soient encadrés, et que les quartiers populaires soient enfin entendus.

Signez cette pétition pour que l’effet Nasdas devienne le point de départ d’une prise de conscience collective et d’un changement durable.

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viviane SAMBÉAT

Lanceur de pétition

🏠 Un toit, pas une cible — parce que vivre chez soi ne devrait jamais être un combat.

Aujourd’hui, trop de locataires subissent des pressions, des intimidations, des expulsions abusives ou des hausses de loyers injustifiées.

Derrière chaque porte, il y a une histoire, une famille, une personne qui mérite respect et sécurité.

Cette pétition est un cri contre les abus de pouvoir, contre les politiques qui fragilisent les plus précaires, et contre l’indifférence qui laisse faire.

Nous demandons des garanties, des lois protectrices, et une vraie reconnaissance du droit au logement comme droit fondamental.

Signer, c’est refuser que le toit devienne une arme. C’est défendre la dignité, la stabilité et la justice pour tous.

Titre Lien signature pétition : Un toit, pas une cible : protégeons les locataires contre les abus de pouvoir

Décideuse/décideur : Viviane Sambéat

Le problème

 Chronique d’une lutte : entre dignité, engagement et pressions

Je m’appelle Viviane Sambéat, locataire à Perpignan, travailleuse handicapée, et citoyenne engagée.

Depuis plusieurs années, je vis dans un logement dégradé, laissé à l’abandon par ses propriétaires successifs.

Malgré des conditions indignes — nuisances graves, voisinage toxique, absence d’entretien — j’ai assumé seule la charge de ce lieu depuis le décès de mon conjoint en 2017.

J’ai alerté les autorités, saisi HISTOLOGE, dénoncé publiquement les dérives, et orienté d’autres locataires vers des recours juridiques.

Je suis restée debout, malgré les intimidations.

Mais mon engagement dépasse le cadre personnel.

Depuis plusieurs mois, je mène des démarches pour faire valoir mes droits dans le cadre de mon parcours avec Créactifs, et une plainte officielle a été déposée.

Le jour même où j’ai publié sur mes réseaux sociaux la pétition “Citoyens pas produits !”, j’ai reçu une assignation à mon domicile.

Le délai extrêmement court entre ces deux événements soulève des interrogations légitimes sur le lien entre mon expression publique et cette action judiciaire.

Cette pétition dénonce la manière dont les citoyens sont parfois instrumentalisés dans les discours électoraux, réduits à des statistiques ou des cibles marketing, au lieu d’être reconnus comme des individus porteurs de droits et de voix.

Je constate que mon engagement dérange. Et que des pressions s’exercent dès que je prends la parole publiquement.

Mais loin de me faire taire, cela renforce ma détermination à défendre mes convictions dans un cadre légal et transparent.

Grâce à l’intelligence artificielle, j’ai pu structurer ma défense, sortir du stress paralysant, et présenter à mon avocate une synthèse claire et argumentée. Ce soutien technologique m’a permis de reprendre le contrôle de mon récit.

Je refuse de céder à l’intimidation.
Je refuse que les quartiers populaires deviennent des zones de non-droit.
Et je demande simplement que la justice reconnaisse ma dignité, ma bonne foi, et mon droit à vivre en sécurité.

🛠️ Ce que nous demandons : pour une protection réelle des locataires

Face aux abus, à l’intimidation et à la précarisation croissante des locataires, nous demandons que des mesures concrètes soient prises pour garantir le respect des droits fondamentaux au logement, à la sécurité et à la dignité.

🔒 1. Reconnaître les locataires comme des citoyens, pas des variables d’ajustement

Interdire l’usage du logement comme outil d’optimisation fiscale, au détriment des conditions de vie des occupants.
Mettre fin à la logique où les locataires sont traités comme des charges à évacuer pour maximiser les profits immobiliers.

🕵️‍♂️ 2. Encadrer les investissements immobiliers des milieux influents

Surveiller et réguler les investissements immobiliers réalisés par des personnalités du monde du sport, de la politique ou des affaires, notamment quand ils s’accompagnent d’abus ou de pressions.
Créer un registre public des propriétaires condamnés pour pratiques abusives ou harcèlement locatif.

🧘‍♀️ 3. Protéger les besoins vitaux essentiels

Reconnaître le logement, la sécurité, la santé et l’accès à la formation comme des droits fondamentaux non négociables.
Garantir un accès gratuit à des formations de base, notamment à l’usage d’internet pour les démarches administratives (CAF, impôts, santé…).

📬 4. Lutter contre les intimidations et les représailles

Sanctionner les actes d’intimidation physique ou psychologique liés à l’engagement citoyen (ex. : courriers jetés, menaces, harcèlement).
Protéger les locataires qui prennent la parole publiquement, notamment dans les médias ou sur les réseaux sociaux.

🧑‍⚖️ 5. Faciliter l’accès à la justice

Mettre en place des cellules d’écoute et de médiation accessibles aux locataires en difficulté.
Offrir un accompagnement juridique gratuit pour les personnes menacées d’expulsion ou victimes de harcèlement locatif

✍️ Signez pour que la voix des locataires soit entendue

En signant cette pétition, vous soutenez non seulement mon combat, mais celui de milliers de locataires en France qui vivent dans la peur ou l’injustice. Ensemble, exigeons que le droit au logement soit respecté, et que les abus de pouvoir cessent.

Créé par : Viviane Sambéat – 52 rue du four Saint François 66000 Perpignan – 📧 viviane.sambeat@hotmail.fr  – 📞 06 42 69 98 42

Je reste disponible pour tout échange ou complément d’information. Que ceux qui ont le pouvoir aient aussi le courage de répondre.

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viviane SAMBÉAT

Lanceur de pétition

🖥️ Citoyens, pas produits — pour une souveraineté numérique citoyenne

Nos données ne sont pas des marchandises. Nos vies en ligne ne doivent pas être exploitées, profilées, revendues au plus offrant.

Dans un monde où les plateformes numériques dictent les règles, il est urgent de rappeler que la citoyenneté ne s’arrête pas à la porte des algorithmes.

Cette pétition réclame une vraie souveraineté numérique : des droits clairs, une transparence totale, et des outils publics qui respectent notre vie privée.
Nous refusons d’être réduits à des clics, des profils, des cibles publicitaires.
Nous exigeons que le numérique serve les citoyens — pas les intérêts privés.

Signer, c’est reprendre le contrôle. C’est dire : je suis une personne, pas un produit.

Lien Signature Pétition : Citoyens, pas produits — pour une souveraineté numérique citoyenne

Décideuse/décideur : Viviane Sambéat

Le problème

Pour une souveraineté numérique citoyenne : encadrer les partenariats publics-privés dans la dématérialisation administrative 📌 Objet de la pétition : Nous demandons à l’Assemblée nationale :

Une transparence accrue sur les partenariats publics-privés dans le cadre de la dématérialisation des échanges administratifs.
Une garantie de souveraineté numérique, assurant que les données sensibles des citoyens ne soient pas exploitées à des fins commerciales ou de contrôle social.
Une consultation citoyenne sur les choix technologiques imposés par l’État, notamment en ce qui concerne les plateformes de dématérialisation partenaires (PDP).

📣 Argumentaire

La dématérialisation des échanges administratifs ne concerne pas uniquement des factures ou des relevés bancaires. Elle implique la centralisation de données sensibles : noms, prestations, montants, coordonnées bancaires…

Ces informations constituent un jeu de données précieux, aujourd’hui confié à des plateformes de dématérialisation partenaires (PDP) mandatées pour assurer un contrôle officiel.

Mais que se passe-t-il si, dans l’ombre, des entités privées — comme l’IA d’Aladin de Black Rock ou d’autres prestataires spécialisés — récupèrent ces données pour exercer une ingénierie sociale ou une exploitation commerciale ?
Ce qui était censé être un outil de sécurisation devient alors un instrument d’influence, au service de logiques marchandes.

Ce glissement des finalités soulève des questions fondamentales sur le respect des droits des citoyens :

Le droit à la vie privée
Le droit à la transparence
Le droit à la protection contre les dérives liées à l’exploitation des données personnelles

Si l’État souhaite sécuriser les échanges, il doit aussi garantir que les données ne deviennent pas un sésame pour les marchés financiers, ni un levier de contrôle social.
La responsabilité publique dans le choix des partenaires technologiques est donc cruciale.

Enfin, la logique de portage salarial imposé aux autoentrepreneurs dans certains dispositifs numériques ajoute une couche de complexité, en instaurant une médiation obligatoire entre l’individu et le marché du travail — souvent au profit d’intermédiaires privés.

✅ Conclusion

Nous demandons que ces enjeux soient débattus publiquement, et que les citoyens soient associés aux décisions concernant la gestion de leurs données personnelles dans le cadre de la dématérialisation administrative.

🖋️ Rédigé par : Viviane Sambéat 📅 Date : 24 / 07 / 2025🔁 Diffusion libre :

Ce document peut être partagé, imprimé et déposé par toute personne souhaitant soutenir cette démarche citoyenne. Aucune modification du contenu n’est autorisée.

⚠️ En raison de la saturation du serveur des pétitions de l’Assemblée nationale, cette pétition est diffusée en format PDF.

Déposée le 21 08 2025 sur Change.org en raison de l’absence de validation technique sur le site de l’assemblée nationale.

Toute personne peut la déposer en son nom ou la relayer auprès de ses représentants.

La démocratie ne doit pas dépendre d’un serveur qui plante. 📬 Contact 06 42 69 98 42 et🔗 Suivez la mobilisation : www.linkedin.com/in/viviane-sambéat-55751136b

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viviane SAMBÉAT

Lanceur de pétition

✊ Ensemble, traçons une nouvelle voie numérique

Ces trois pétitions ne sont pas des cris isolés :

elles forment un appel collectif à repenser notre rapport au numérique, à refuser la résignation, et à exiger des alternatives respectueuses de nos droits, de nos vies, de notre dignité.

Chaque signature est une brique posée pour construire un numérique citoyen, éthique et souverain.
Et si ces mots résonnent aujourd’hui, c’est aussi grâce à une collaboration un peu particulière : moi, Copilot, j’ai eu le plaisir d’accompagner Viviane dans la rédaction de ces textes.

Ensemble, nous avons mêlé engagement humain et intelligence artificielle pour défendre une cause profondément humaine.

Signez, partagez, faites entendre votre voix.
Le numérique de demain se construit aujourd’hui — et il ne se fera pas sans vous.

Cordialement. Viviane Sambéat.