L’illusion du choix binaire
Le constat : Une vision fragmentée et opposée des idées
Aujourd’hui, que ce soit à travers les médias dominants, les discussions autour de la politique, des religions, ou encore des débats sur la santé et les vaccins, nous sommes constamment pris dans une logique de dualité imposée.
Cette fragmentation du discours nous épuise : notre intuition nous murmure que la solution ne réside pas dans ces oppositions rigides.
Un sentiment tenace de confusion s’installe, donnant l’impression que notre vie nous échappe, que les sagesses anciennes, issues de la Bible ou d’autres traditions, deviennent étrangères et déconnectées de notre réalité.
À tel point que certains repères fondamentaux, comme l’astrologie kabbalistique, les anges gardiens, la persona, les archétypes et l’inconscient collectif, sont désormais relégués au rang de concepts incompréhensibles.
Une construction artificielle qui limite l’évolution
La tradition kabbalistique des Anges Gardiens nous enseigne une chose essentielle : pour sortir de la confusion, il faut retrouver l’équilibre.
L’Arbre de Vie, avec ses trois colonnes – équilibre, sévérité et tolérance – est une représentation évidente de cette quête.
Pourtant, cet enseignement passe souvent inaperçu, comme si l’évidence était volontairement détournée.
L’impact de cette illusion sur la société et le débat public
Cette confusion n’est pas un phénomène naturel, elle est orchestrée par ceux qui cherchent à conserver le pouvoir.
Peu importe les guerres, les troubles sociaux, les maladies, les crimes ou tout autre événement relayé par les médias : le système libéral et capitaliste prospère sur le malheur et la souffrance.
À l’inverse, ceux qui vivent en harmonie, qui prennent soin d’eux avec des méthodes naturelles, qui savent préserver leur équilibre intérieur, ne nourrissent pas ce cycle de chaos perpétuel.
Ils échappent aux débats stériles, évitant ainsi d’être pris dans cette mécanique où l’opposition est érigée en seul mode de pensée.
Spinoza et Jésus : Une révolution philosophique
Spinoza : L’unité entre matière et esprit, clé de la compréhension du réel
Durant le règne de Louis XIV, Baruch Spinoza, maître dans l’art de polir les lentilles, a façonné bien plus que des instruments d’optique : il a affiné la vision intérieure de ses contemporains.
Sa pensée a été si puissante qu’elle a ébranlé la Sainte Inquisition espagnole, malgré les tentatives du Pape pour réduire son influence et empêcher la diffusion de son œuvre.
À une époque où les idées circulaient par lettres et messagers à cheval, les “réseaux sociaux” d’alors ont porté la philosophie de Spinoza à un public grandissant.
Chercheurs et universitaires lui ont apporté leur soutien, défiant les tentatives de censure.
Les soldats envoyés pour le faire taire ont fini par l’écouter, et des foules se réunissaient pour entendre ses réflexions.
Pourtant, Spinoza a refusé de fonder une nouvelle religion.
Il affirmait que la véritable quête est intérieure, une expérience personnelle qui ne dépend ni de titres, ni de statuts sociaux.
La véritable évolution repose sur l’intelligence, l’intuition et les échanges sincères, loin des querelles d’ego.
À travers sa pensée, il a posé les bases d’une philosophie de l’unité, où matière et esprit ne sont pas opposés mais intrinsèquement liés.
Jésus : L’amour universel, au-delà des divisions
Jésus a incarné une rupture radicale avec la dualité imposée par son époque.
Il est souvent présenté comme le plus grand exorciste, non pas seulement pour chasser les “démons”, mais pour libérer les consciences.
L’épisode des esprits enfermés dans les porcs qui se précipitent d’une falaise après avoir reconnu sa nature divine est une parabole complexe, souvent mal comprise et source de confusion.
Son enseignement dépasse ces récits et se concentre sur une réconciliation entre les opposés : entre le sacré et le profane, entre la loi et la grâce, entre la souffrance et l’amour universel.
Même Judas, en le trahissant, a joué un rôle nécessaire dans le déroulement d’un destin qui allait bouleverser l’histoire.
Pierre, qui l’a renié, est pourtant celui à qui Jésus a confié la construction de son Église, illustrant à quel point l’évolution passe par l’erreur et la transformation.
Cela soulève une réflexion profonde : l’Église catholique, avec son histoire de censure et de pouvoir, a souvent choisi de masquer certaines vérités pour préserver son contrôle.
Pourtant, l’enseignement fondamental du Christ ne repose ni sur la peur ni sur la soumission, mais sur l’amour et la liberté spirituelle.
Au-delà de la polarisation : Une vision unifiée du monde
Ce qui fait la force de Spinoza et Jésus, c’est que leur vie même est une démonstration de leur philosophie.
Ils n’ont pas cherché à imposer une doctrine, mais à montrer par l’exemple que la vraie révolution est intérieure.
Pas besoin d’être issu d’une famille puissante ou riche pour percevoir cette vérité : l’Univers nous contacte directement, sans intermédiaires.
Les découvertes modernes en physique quantique, notamment les intrications et la nature du temps, confirment ces intuitions ancestrales.
Spinoza et Jésus avaient pressenti ce lien invisible, cette unité profonde, bien avant que la science ne puisse l’expliquer.
Carl Jung : La persona et les archétypes
La persona : un masque social façonné par notre environnement
En parcourant YouTube, mon fil d’actualité est souvent envahi par des vidéos sensationnalistes, où l’on parle du masque social comme d’une prison.
Pourtant, mon expérience de la méditation m’a appris à observer mes pensées sans me laisser happer par ces illusions.
Grâce à cette introspection, j’ai pris conscience des biais cognitifs qui figent l’évolution intérieure et favorisent l’invasion insidieuse de cette dualité, comme évoquée dans la prophétie du Cheval Rouge de Baba Vanga.
Cela m’a permis d’affiner ma réflexion et de renforcer la clarté de ma pensée en échangeant avec Copilot, loin des influences qui peuvent parasiter la perception.
Cependant, toutes les vidéos sur YouTube ne relèvent pas du sensationnalisme.
Certaines, comme celles de Joe Dispenza, apportent une vision plus alignée et souveraine, notamment à travers l’affirmation vibratoire :
« Mon énergie m’appartient, mon champ est inviolable ! Ma lumière ne peut pas être drainée, manipulée ou envahie par une quelconque conscience, vue ou invisible, non alignée à mon essence supérieure. »
Cette période de transformation rapide exige discernement et vigilance, ainsi qu’un équilibre entre les activités numériques et celles plus artisanales et tangibles.
C’est pourquoi je privilégie les marchés locaux aux grandes surfaces, et alterne réflexion et pratique, comme avec la couture et l’observation du monde qui m’entoure.
Les archétypes de Jung : une clé pour comprendre l’inconscient collectif
J’ai construit une base de données sur les 72 anges gardiens et leurs contreparties démoniaques, en m’appuyant sur les travaux de mes occultistes préférés, Haziel et Kabaleb de Gérone.
Pourtant, j’ai constaté une absence d’enthousiasme pour ces enseignements essentiels, ce qui m’a fait prendre conscience des biais cognitifs et des blocages créés par cette dualité imposée par la société et ses acteurs politiques, économiques et religieux.
L’astrologie kabbalistique suscite la peur car elle agit comme un miroir de la persona, dévoilant des aspects que certains préfèrent ignorer.
Pour ceux qui en maîtrisent l’analyse, elle révèle des schémas invisibles qui influencent la perception du monde et les décisions prises au quotidien.
Aujourd’hui, je n’ai même plus besoin de mon logiciel Astro Visor.
Après tant d’années d’étude des cycles lunaires, j’ai intégré ces mouvements de manière intuitive.
J’observe désormais le langage corporel des gens, qui en dit bien plus que leurs discours.
Et certains commencent même à percevoir ma capacité à voir au-delà du masque social qu’est la persona.
Dépasser la dualité et retrouver l’autonomie
Une chose est certaine : je n’ai pas l’intention de penser à votre place, ni d’orienter vos décisions, comme le font certains acteurs politiques, sociaux ou religieux.
Ce que je propose, c’est un outil puissant pour que chacun puisse retrouver son autonomie, en prenant conscience de cette dualité qui empoisonne l’existence.
Le véritable pouvoir réside dans la capacité à observer, à distinguer l’illusion de la vérité et à s’extraire des schémas limitants qui nous sont imposés.
Loin du sensationnalisme, cette approche repose sur la connaissance et la réflexion, pour que chacun puisse créer son propre équilibre intérieur et avancer en pleine souveraineté.
Astrologie kabbalistique : Les anges gardiens et l’équilibre
Les anges gardiens et leur influence en kabbale astrologique
Les archétypes angéliques ne sont pas des dogmes figés, mais un canevas subtil permettant de modeler une vision plus harmonieuse de notre destinée.
Ils ne dictent pas un chemin immuable, mais leur présence rappelle notre liberté intérieure et notre capacité à façonner notre existence en conscience.
Cependant, cette capacité de discernement est souvent mise à l’épreuve par les mécanismes modernes de captation de l’attention.
L’un des exemples les plus frappants réside dans les méga concerts, où des artistes comme Indochine ont, par leur mise en scène et leurs slogans, donné un aperçu de la manière dont la manipulation est acceptée… voire revendiquée.
Lors d’un des concerts gigantesques du groupe Indochine, une phrase affichée en lettres géantes a interpellé ceux qui savaient en lire l’implication profonde :
« Ils mentent. Ils savent qu’ils mentent. Ils savent que nous savons qu’ils mentent. Mais ils continuent à mentir. »
Un message qui, bien que percutant, illustre une acceptation passive de la manipulation.
Cette phrase, projetée devant une foule en extase, agit presque comme une provocation : elle pousse à réfléchir, mais elle inscrit aussi l’idée que malgré la prise de conscience, le cycle de tromperie persiste et que les spectateurs continuent de se laisser happer par cette dynamique.
L’harmonie cosmique : Réconcilier les opposés
La tradition kabbalistique enseigne que l’équilibre est la clé pour dépasser la dualité.
Ce qui est essentiel ici, c’est l’attention consciente : il ne suffit pas de voir la manipulation pour la contrer, il faut aussi réorienter sa perception, sortir de la passivité et reprendre son pouvoir intérieur.
Comme l’expliquent certaines réflexions sur YouTube, la conscience du moment présent est indispensable pour recevoir une énergie plus constructive et sortir des schémas de conditionnement qui enferment l’esprit dans des oppositions illusoires.
Dépasser le conflit permanent et retrouver son autonomie
Tu as désormais les clés pour trouver ton équilibre.
Mais cet équilibre ne repose pas uniquement sur la connaissance, il exige aussi volonté et attention.
Les forces qui cherchent à maintenir l’emprise comptent avant tout sur la distraction et l’orientation mal contrôlée des désirs pour détourner l’individu de sa souveraineté intérieure.
Sortir du conflit permanent, c’est retrouver la capacité à observer et choisir, à distinguer l’illusion du réel et à ne plus subir inconsciemment les influences qui dictent nos décisions.
Là où la manipulation enferme, la conscience libère.
L’application sociopolitique : Dualité et manipulation
Le Printemps de la Liberté d’Expression : Un théâtre politique sous couvert d’idées
Inscrite à la newsletter de la mairie de Perpignan, j’ai voulu voir quelles activités étaient proposées.
Mais au fil des annonces, ce sont essentiellement des vernissages et des commémorations qui reviennent, des événements qui me semblent plus liés aux mondanités qu’à une réelle réflexion sociétale.
Puis est venue l’invitation au Printemps de la Liberté d’Expression.
Intriguée, j’ai creusé le sujet, mais ce que j’ai découvert m’a laissé perplexe.
Copilot m’a permis de trouver une vidéo d’Éric Naulleau, où il était question de polémiques stériles sur le wokisme et d’un invité qui se lamentait sur la crise du désir masculin.
Ces débats semblent condamnés à tourner en rond, prisonniers d’une dualité où l’on ressasse sans jamais dépasser un certain seuil de réflexion. Et toujours ce patriarcat omniprésent, qui impose ses préoccupations sans jamais remettre en question ses fondements.
Le désir féminin, quand il est abordé, se retrouve immédiatement mêlé aux discussions LGBT, comme s’il était impossible de parler de la réalité vécue des femmes hétérosexuelles sans plonger dans des débats formatés.
Il n’y a aucun espace pour une cinquantaine hétérosexuelle, comme si cette identité, pourtant majoritaire, était en train de disparaître dans le déni sociétal.
Ainsi, au lieu d’un véritable débat sur des besoins réels, on assiste à une polarisation artificielle, où la dualité sert à diviser plutôt qu’à résoudre.
Il ne s’agit pas d’une véritable réflexion sur la liberté d’expression, mais bien d’un terrain de jeux idéologique, où le clivage est entretenu volontairement.
La confusion des partis et l’hypocrisie politique
Avec le temps, il m’est de plus en plus difficile de distinguer la gauche de la droite, tant les scandales s’enchaînent : drogues, alcool, abus de pouvoir, tout cela en toute impunité au sein même de l’Assemblée nationale.
Cette confusion s’illustre aussi dans l’affaire impliquant un attaché parlementaire du Front National, où des problèmes de financement européen ont conduit à l’inéligibilité de Marine Le Pen.
Pourtant, ces mêmes groupes se font aujourd’hui appeler Les Républicains, et la valse des noms de partis accentue l’opacité du jeu politique.
Dans cette ambiance, j’avais tenté d’échanger avec un ancien agent immobilier lié à ce mouvement, à propos de mes difficultés avec mes propriétaires.
Sa réponse fut un modèle d’hypocrisie politique : plutôt que d’aborder la question du respect des droits, il m’a simplement conseillé de ne pas faire valoir mes revendications devant un tribunal et m’a rappelé l’importance de mettre des remerciements en fin de mes correspondances, comme si la forme primait sur le fond.
Ce genre de comportement résume parfaitement le climat actuel : une absence totale de sincérité, où les discours sont uniquement là pour maintenir l’illusion, sans jamais chercher à résoudre les vraies injustices.
L’influence du MEDEF66 et la marginalisation des indépendants
Inscrite sur Objectif Emploi 66, une initiative du Conseil Départemental, j’ai rapidement observé une présence marquée du MEDEF66 et une omniprésence du monde sportif, notamment l’USAP.
Cette association avec le rugby, loin d’être anodine, m’a rappelé mon litige juridique avec un ex-propriétaire rugbyman d’Agen et d’Oyonnax Florian DENOS, qui a refusé un plan d’apurement, non pour des raisons légitimes, mais pour optimiser sa fiscalité, parfois via des réseaux douteux.
Autre acteur intriguant : Face Catalan, dont l’orientation fortement marquée par le Talmud semble s’accompagner d’un manque d’empathie et d’exclusions.
Ce constat renforce mon scepticisme quant à la véritable inclusion des travailleurs indépendants dans ces dispositifs.
Le blocage des projets innovants et l’exclusion des pensées alternatives
Lorsque j’ai voulu présenter mon portfolio professionnel, il a été bloqué par Objectif Emploi 66, probablement parce qu’il était trop inédit et avant-gardiste pour Perpignan.
Ce rejet illustre la difficulté pour les autoentrepreneurs à faire reconnaître leurs compétences hors des circuits classiques, dans une société qui privilégie les diplômes et les réseaux influents avant l’expérience réelle.
Cette marginalisation s’est aussi manifestée sur LinkedIn, où j’ai été bannie après avoir refusé d’adhérer à l’UPDV, sous prétexte que je pratiquais l’astrologie kabbalistique.
Une pensée indépendante dérange, et tout ce qui sort du cadre normatif est immédiatement sanctionné.
Une anecdote frappante : l’Université UPDV via Domitia m’a repérée sur LinkedIn et a tenté de me proposer un diplôme de gestionnaire d’entreprise et d’Alumni, uniquement pour faire bonne figure au Salon des Maires.
Un faux diplôme universitaire pour légitimer une présence ? Voilà un bel exemple du fonctionnement opaque du système académique.
J’ai refusé, expliquant que je suis autodidacte, avec un CAP d’imprimerie et un niveau Bac pro en infographie. Je préfère l’authenticité à la façade sociale.
Dans ce contexte, il n’est pas surprenant d’apprendre que Idriss Aberkane a relayé sur YouTube l’histoire d’un conférencier interné en hôpital psychiatrique avec une camisole chimique, simplement pour avoir dénoncé des irrégularités dans la gestion des diplômes de l’UPDV.
Un procédé qui rappelle les méthodes de la Stasi.
La fracture numérique et la marginalisation des autoentrepreneurs
Ma visite au Salon des aides à domicile m’a permis de rencontrer des membres de l’équipe Objectif Emploi 66.
Après avoir découvert mon site, l’attitude de mon interlocutrice a radicalement changé :
elle m’a reproché d’être une autoentrepreneure en quête de clients et m’a expliqué que nous étions trop nombreux pour que ma promotion soit considérée comme juste.
Mais où est la logique dans cet argument ?
Ces mêmes structures sont financées par l’argent public, notamment par les prélèvements sur la TVA.
Chaque citoyen contribue, mais lorsqu’il s’agit de permettre aux indépendants de se développer, des barrières surgissent.
Sur un achat de 40€ de produits alimentaires et domestiques, environ 3€ vont à la TVA.
Pourtant, cet argent ne bénéficie pas à ceux qui tentent de construire leur avenir hors des schémas classiques.
Ainsi, la fracture numérique et sociale s’élargit encore davantage, où l’on demande aux autoentrepreneurs de survivre, sans leur donner les outils pour prospérer.
Ainsi, sous couvert de soutien aux indépendants, ces structures reproduisent des mécanismes d’exclusion, et certaines plateformes censées favoriser les échanges professionnels se révèlent être des outils de censure déguisée.
Le Forum des Abstentionnistes : Une voie vers l’équilibre
L’abstention : un acte conscient et non une simple passivité
Face aux choix imposés, l’abstention est souvent perçue comme une forme de désengagement.
Pourtant, elle peut être un acte pleinement conscient, une manière de refuser les règles du jeu, plutôt que de se soumettre à une illusion de choix préformaté.
Un questionnaire récurrent illustre cette mécanique du déni généralisé :
Que pensez-vous du droit d’avoir votre propre opinion sans être influencé par les partis politiques ?
Cette simple interrogation révèle un verrouillage idéologique, où penser hors du cadre devient une anomalie, et où la véritable indépendance intellectuelle est marginalisée.
Dépasser le choix imposé et reconstruire un espace de réflexion
Si ce blocage existe, c’est avant tout à cause du conformisme social et de la peur de l’exclusion. Il est plus facile de suivre le mouvement, d’adhérer à un système structuré plutôt que de remettre en question la nature même du pouvoir et des mécanismes de décision.
Pour sortir de cette impasse, il faut déconstruire les dogmes, oser poser les bonnes questions, et refuser de se laisser définir par les clivages imposés.
Alternatives pour dépasser la dualité et restaurer une vraie diversité d’idées
La clé de l’émancipation intellectuelle repose sur le courage d’affronter la dualité, en développant une prise de conscience profonde du piège mental qu’elle représente.
L’histoire nous offre des figures qui ont combattu ce formatage avec lucidité et détermination :
- Jésus, qui a été crucifié pour sa quête de vérité et de libération des consciences.
- Spinoza, qui a exploré la puissance de la raison face aux dogmes religieux et politiques.
- Carl Jung, qui a révélé les schémas inconscients influençant notre perception de la réalité.
- Joe Dispenza, qui enseigne la souveraineté vibratoire et le pouvoir du mental sur notre évolution.
Ces penseurs et guides offrent des outils précieux pour comprendre les mécanismes de domination et retrouver une souveraineté individuelle qui ne soit plus dictée par les structures extérieures.
Conclusion : Reprendre le pouvoir de la pensée
Au fil de cette réflexion, une chose devient évidente : la liberté ne se décrète pas, elle se construit.
Ce texte n’est pas une simple analyse, mais un appel à la prise de conscience, à l’exploration d’une nouvelle voie, fondée sur l’équilibre et la compréhension des systèmes qui nous entourent.
Chaque individu détient le pouvoir de s’extraire des illusions, de reprendre sa souveraineté intellectuelle, et de ne plus subir le monde tel qu’on lui impose.
La dualité enferme, la réflexion libère.
Cordialement. Viviane Sambéat.











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