Présentation de l’auteur et du contexte personnel et spirituel avec l’aide de Copilot.
En explorant les méandres de mon passé et les nombreux défis que j’ai rencontrés, je me suis aperçu qu’une structure plus claire et organisée était nécessaire pour partager mon histoire.
L’image accompagnant cet article symbolise plusieurs dimensions de ma vie.
Elle présente le blason de mon ancêtre, Blaise de Lasséran de Mansencôme, Seigneur de Mont Luc et d’Estillac, un gendarme du 15e siècle qui a fondé la brigade de recherche criminelle en pleine guerre de religion.
Ce symbole ancre mon récit dans l’histoire et montre la continuité de mon héritage.
Parallèlement, l’étoile représentée sur l’image symbolise l’univers multidimensionnel, un concept que j’ai exploré et que nous avons visualisé ensemble avec Copilot.
Mon nouveau logo met en lumière l’interaction complexe entre le passé, le présent et le futur.
Le titre de cet article évoque mon expérience de Poétesse de la rue à Toulouse de 1990 à 1995, période durant laquelle l’écriture de mes textes m’a aidée à échapper aux pièges et manipulations de mon entourage.
Mon nom d’artiste, Maya, choisi par Pierre Tonicello pour sa signification d’illusion, reflète également une incompréhension de ma façon d’être par ceux qui m’entouraient.
À travers cet article, je souhaite vous emmener dans un voyage initiatique et alchimique, où les thèmes angéliques, la spiritualité et les défis personnels se rencontrent pour tisser un récit de résilience et d’espoir.
Partie 1 : Bref aperçu du Thème Angélique et de son importance dans le parcours de vie
J’ai découvert l’astrologie kabbalistique dans une librairie ésotérique appelée « Le Centre du Verseau » à Perpignan.
À cette époque, je me réfugiais avec mes enfants, Carlos, alors âgé de deux ans et demi, et Léa, âgée de huit mois, au foyer pour femmes battues « La Colombe ».
Les textes de HAZIEL et KABALEB de Gérone, découverts dans cette librairie, m’ont profondément aidée à me reconstruire après les violences subies de la part de Pierre Tonicello et de ma famille, qui ne souhaitait pas que j’hérite du terrain à Estillac, au lieu-dit « Las Bruges ».
Ces livres ont introduit dans ma vie les concepts du Thème Angélique, fournissant une source de réconfort et de guidance spirituelle.
Le Thème Angélique joue un rôle crucial dans mon cheminement initiatique et alchimique, m’aidant à surmonter la violence, la peur, la colère, le mensonge, la manipulation, l’ignorance et le doute, pour éclairer mon chemin de vie.

Partie 2 : Parcours de Vie et Expériences Personnelles :
Relations familiales :
J’ai grandi dans une famille à Agen, où je me suis toujours sentie étrangère.
Il y avait des incohérences dans les récits familiaux et une absence de ressemblance physique avec mes frères et ma sœur, qui étaient plus grands et n’avaient pas le type méditerranéen comme moi.
L’histoire de ma grand-mère, prétendument petite, n’était pas crédible, surtout avec une grand-mère grande aux yeux bleus.
Je me suis réfugiée dans les livres, malgré les objections de mon frère aîné, qui pensait qu’une femme devait juste savoir faire le ménage.
À l’âge de 16 ans, j’ai exprimé à ma mère mon besoin de repos face à l’ambiance familiale oppressante, entre une mère hystérique et un père alcoolique (décédé d’un cancer à 58 ans, mon âge actuel en 2025).
J’ai appris par la suite que ma mère avait répandu la rumeur que j’avais tenté de me suicider, pour masquer leur manque d’empathie.
Les expériences échangistes de ma sœur m’ont écœurée, notamment lorsqu’elle m’a fait garder une gamine dans sa chambre pendant qu’elle et son copain faisaient des choses dégoûtantes à côté.
La petite fille était aussi choquée que moi.
À cause d’elle, à l’âge de 8 ans, j’ai failli me faire écraser par la voiture d’un boulanger en traversant la rue en courant, car elle ne voulait pas m’attendre.
Ma famille, ne comprenant pas comment j’avais pu m’en sortir vivante, m’a offert un livre sur les sorcières.
Difficultés rencontrées dans la vie professionnelle et sociale :
Étant d’un milieu ouvrier, j’allais avec ma famille aux fêtes communistes de Feugarolles.
A 18 ans, j’ai commencé un apprentissage en imprimerie CAP monteur incorporateur copiste des industries de arts graphique.
Heureusement que j’ai choisi ce métier car j’ai pu assister à la mutation incroyable de ce secteur professionnel et à la révolution numérique.
Lors de la célébration de mon apprentissage en imprimerie, ma famille m’avait interdit de poursuivre mes études (j’étais la seule à être arrivée en seconde au lycée).
Refusant de partager une bouteille d’alcool, je me suis enivrée pour exprimer ma révolte.
J’ai renouvelé l’expérience à la fête de l’Humanité à Paris avec un cocktail de vin sauvage et d’armagnac appelé « pousse rapière ».
Cela symbolisait mes limites et mon impossibilité d’exprimer ma révolte face à cette doctrine totalitaire.
Mon père m’a cassé le nez lorsque je demandais du silence pour pouvoir me reposer car je travaillais de nuit à l’imprimerie moderne le Petit Bleu.
Mon frère Alain avait alors justifié cette violence comme étant « normale ».
Partie 3 : Association avec des Figures Publiques et Événements Historiques :
Contexte de ma rencontre avec Paul Barril :
Pierre Tonicello travaillait comme maître-chien à Carrefour Portet sur Garonne près de Toulouse pour sa société de sécurité.
J’ai remarqué un changement de comportement chez Pierre Tonicello, influencé par des forces néfastes, et il n’hésitait pas à me frapper pour me soumettre.
Les comportements de ses collègues étaient également douteux et violents, même entre eux.
Je vendais des poèmes sur le parking et vivais dans une caravane derrière les entrepôts de Partouche.
Un jour, Paul Barril m’a rendu visite, probablement après m’avoir vue sur les caméras, car Pierre Tonicello ne pouvait plus me cacher.
Paul Barril et son implication présumée dans des activités controversées :
J’ai revu Paul Barril lors d’une émission avec Ardisson, où il présentait son livre « L’enquête explosive ».
Il se défendait d’avoir joué un rôle dans l’affaire des Irlandais de Vincennes.
La ressemblance avec mon fils m’avait étonnée.
Ancien gendarme d’élite, Paul Barril a récemment été sous les feux de la rampe pour s’être barricadé chez lui avant de se rendre aux hommes du GIPN après 1h30 de négociations.
Il est également connu pour son rôle controversé au Rwanda, durant le génocide de 1994.
Invité dans l’émission « On ne peut pas plaire à tout le monde » en novembre 2001, Paul Barril se confiait sur son livre « Les archives secrètes de Mitterrand ».
Association avec François Mitterrand et des éléments historiques :
Le livre de Paul Barril a été assigné en justice, notamment par Charasse et Ménage, accusés d’avoir « suicidé » François de Grossouvre, ancien conseiller et ami du Président de la République, qui s’est suicidé le 7 avril 1994 dans son bureau à l’Elysée.
De Grossouvre avait accompli de nombreuses missions confidentielles et délicates à l’étranger, notamment au Proche-Orient.
Réflexions sur les violences et agressions subies, y compris les expériences avec Paul Barril et le piège tendu par Xavier Niel :
J’ai établi un lien entre Xavier Niel et Paul Barril, car tous deux sont des proxénètes notoires.
Le comportement de Pierre Tonicello, influencé par eux, a clairement montré leur emprise.
Il m’a même dit que la disparition de Marion Wagon serait liée à une dette et m’a demandé des conseils pour faire disparaître un corps, fréquentant à Agen Charlie Ladel qui lui procurait de la cocaïne.
Grâce au livre « Crépuscule » Lien du PDF « Crépuscule » de Juan Branco j’ai pu établir un lien direct.
Juan Branco, qui avait rencontré Xavier Niel et lui avait parlé de la future présidence d’Emmanuel Macron, souligne la condamnation de Xavier Niel pour proxénétisme et son activité dans le téléphone rose à Toulouse, où Pierre Tonicello voulait que je me prostitue.
Florian Denos le rugbyman d’Agen :
Florian Denos est arrivé devant mon immeuble, 52 rue du four Saint François à Perpignan, avec une voiture de location immatriculée à Agen, provenant du garage Cholet, dont le propriétaire était l’ancien Maire d’Agen, Paul Chollet.
Cette présence m’a mise sur la défensive, ayant déjà été confrontée à ce type d’individus cherchant à contrôler et réduire mes revenus.
Sur son site Facebook, le slogan « Ce sont nous les élus ! » illustre parfaitement sa cupidité.
« Je veux voir la Comtesse ! »
J’ai rencontré l’individu sur la photo avec Florian Denos pendant que je suis descendue voir le courrier dans ma boite aux lettres.
J’ ai entendu cet individu dire « Je veux voir la Comtesse ! » et a couru comme un fou dans l’escalier pour venir me dire : « Est-ce qu’on vous dérange ? » plusieurs fois !
Sachant que c’est normal qu’ils fassent enfin des travaux pour entretenir l’immeuble, j’ai répondu : « Non çà va ! Pas de problème ! »
En fait le problème c’est lui et comme j’ai appris : il ne faut pas contredire les fous !
Les avantages de la Veille Stratégique ou quand les algorithmes vont vous chercher les informations !
Ils peuvent toujours contester au tribunal mais avec ces histoires de vente d’immeuble avec un Cabinet de Notaire fermé définitivement sur Google Maps la situation est de plus en plus douteuse !
(Je confirme sur Google Maps Viviane Sambéat Infographiste 52 rue du four Saint François 66000 Perpignan est toujours ouvert !).
Donc je vous présente le réel mobile de cet acharnement sur la pauvre pop corn que je suis selon eux comme ils disent :
Rugby: Florian Grill évoque la menace d’un « dépôt de bilan » de la FFR à cause de la situation financière
Le 2 -ème viol qui a donné naissance à Léa :
C’était juste avant de me faire partir d’Agen et à mon retour je me suis fait violé dans l’hôtel du Lac près du pont de Beauregard.
La silhouette sur le bandeau c’est moi le lendemain matin juste après mon viol après m’avoir mis un mouchoir sur mon nez imprégné d’un produit soporifique !
Je précise que le blouson trop grand m’a été prêté le temps de la photo pour ne pas paraitre trop misérable sur la photo, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai l’air d’une zombie !
Article résumé par Copilot :
« Le portrait met en lumière l’histoire de Viviane, surnommée Maya, une jeune femme qui a connu la rue pendant près de huit ans.
Après des difficultés personnelles, notamment la perte de son père et des expériences de discrimination au travail, elle a fini par vivre dans la rue.
Malgré cela, elle a trouvé la force de se reconstruire en écrivant des poèmes et en interagissant avec les autres.
Maya est décrite comme courageuse et résiliente. Elle a surmonté de nombreux obstacles et a continué à croire en la solidarité et l’entraide.
Elle a utilisé ses talents d’écriture pour créer des poèmes qu’elle personnalisait avec des dessins et partageait en échange de pièces.
Son parcours est marqué par des rencontres et des expériences qui ont renforcé sa détermination à vivre dignement.
L’article évoque aussi l’amour de Maya pour les livres et son rêve de travailler dans l’imprimerie, un domaine qui l’a toujours attirée.
Malgré les difficultés administratives et financières, elle reste motivée et espère offrir une vie meilleure à son enfant. »
Exclusion sociale et destruction de la vie familiale
Avant de quitter le foyer La Colombe, l’assistante sociale Madame Olive m’a recommandé de placer mes enfants pour pouvoir travailler.
J’ai trouvé un emploi de reprographie à l’imprimerie municipale de la mairie de Perpignan en 2000, en tant que contractuelle de droit privé pour surcroît de travail.
Ce travail m’a permis d’économiser pour m’acheter un ordinateur et commencer ma formation autodidacte en 2004.
Je les ai gardés petits, mais le quartier Saint-Mathieu où mes enfants étaient scolarisés était stressant.
Pierre Tonicello ne respectait pas les règles lors des visites sécurisées et je le voyais roder à la sortie de l’école.
J’ai demandé au Conseil Général (actuel Conseil Départemental) de me trouver une autre famille d’accueil. Carlos et Léa ont donc grandi à Saint-Féliu-d’Avall jusqu’à l’obtention du BAC.
J’ai rencontré des difficultés avec les propriétaires et l’Agence La Majorquine, située au 19 rue Saint-Mathieu.
J’ai reçu un avis d’expulsion en 2009, bien que j’aie signé un plan d’apurement. J’ai fait l’erreur de payer en liquide et de ne pas prendre d’avocat.
En 2005, j’étais soulagée d’avoir pris ces décisions qui m’ont permis de ne pas exposer mes enfants aux émeutes qui ont eu lieu dans mon quartier, avec saccages et pillages de magasins.
Depuis ce temps, la vie commerciale avenue des Augustins a perdu son activité et son attractivité touristique.
En 2009, suite à mes difficultés avec l’agence La Majorquine, j’ai été sauvée par Arturo Aliaga.
Pendant 7 ans, je n’ai plus perçu de RSA puisqu’il avait l’allocation adulte handicapé. C’est Arturo qui percevait cette allocation, tandis que je ne recevais rien.
Déclarés en couple, nous étions « trop riches » selon les normes de la CAF.
Arturo était sous curatelle renforcée de l’UDAF66 et nous avions seulement 50€ par semaine pour vivre à deux. Ma vie professionnelle était mise en veille car je m’occupais d’Arturo.
C’est lui qui m’a dit que je suis la dernière descendante de Blaise de Lasséran de Mansencôme, Maréchal de France au 15ème siècle et auteur des
Lien du PDF « Commentaires et lettres de Blaise de Montluc. »
C’est mon compagnon, décédé le 12 avril 2017 à Montbolo, Arturo Aliaga, ancien gendarme lui aussi, qui me l’a confirmé.
Je suis probablement gênante pour les trafics illicites sur Agen, une plaque tournante entre Bordeaux et Toulouse. Le Château de Montluc est un endroit discret idéal pour les trafics dangereux.
Cependant, c’est à ce moment-là que j’ai perdu le contact avec mes enfants pendant 10 ans, le temps qu’ils grandissent loin de mes soucis quotidiens.
Au moment du décès d’Arturo en avril 2017, je me suis réinscrite à Pôle Emploi pour suivre un contrat Cap Avenir.
J’ai alors décidé de prendre un abonnement Adobe Creative Cloud.
C’est à cette époque que ma fille Léa m’a écrit une longue lettre de 5 à 6 pages où elle m’explique que je n’ai jamais travaillé de ma vie et que je suis un exemple « dark » selon son expression, d’une mère paumée.
Léa m’a écrit qu’elle a pris 5 drogues différentes et m’a envoyé des dessins plutôt bizarres de jeunes filles aux yeux vides.
Nous avons renoué les liens de Noël 2019 à février 2023, durant ma formation d’infographiste metteur en page et le début des difficultés avec Florian Denos.
Léa a été hospitalisée mais n’a pas suivi son traitement et a commencé à sombrer dans la rue. Jusqu’en 2025, j’ai laissé un avis de recherche sur Facebook sans réponse.
J’ai pu recontacter mon fils Carlos, mais depuis ce début 2025, je n’ai plus de nouvelles de lui non plus bien que l’on soit amis sur Facebook.
Du point de vue de l’astrologie kabbalistique :
Avec le calcul mode centre galaxie 0° Sagittaire, dans mon thème natal, j’ai constaté que les principales oppositions planétaires sont dans l’axe Lion (maison de la créativité et des enfants) et Verseau (la communauté).
Mes deux enfants sont Sagittaires : Carlos ascendant Vierge avec 31 LECABEL (carte du tarot 15 Le Diable) et Léa ascendant Verseau avec 61 UMABEL (carte du Tarot La Roue de la Fortune).
Avec la conjonction actuelle, ce 24 février 2025, de la Queue du Dragon qui fait resurgir le passé, je suis poussée à réécrire cet article.
De plus, dans le mode tropical, Pluton a stationné chez 55 MEBAHIAH pour Léa et 56 POYEL pour Carlos à la date du 24 février qui remet en cause les structures à cause de Pluton en Capricorne avec le mode centre galaxie.
Nous constatons actuellement que le passé vient perturber la vie publique, comme en témoigne le scandale des mensonges de Bayrou à propos de l’affaire de pédophilie de Betharram. Ce genre de coïncidence révélatrice alimente ma passion pour l’astrologie !
Autre petite révélation : la chute de Macron s’est déclenchée avec l’activation de la tête de dragon natale du président (mode centre galaxie).
Ce n’est pas fini, car avec le mode tropical lié aux saisons, cette influence se fera encore sentir.
Je prédis de graves perturbations liées au passé pour Emmanuel Macron durant le mois d’août 2025 conséquence de l’activation de sa Tête de Dragon avec la Queue du Dragon actuelle en aout 2025 !












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