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Quand l’art devient un cri : mon expérience de SDF artiste
Viviane Sambéat
Infographiste créative et passionnée : Racontez votre histoire en images
1 septembre 2024
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Gemini m’a proposé plusieurs introductions, je n’arrive pas à choisir car trop proche de mon vécu !
Le choc et la révélation
« Qui aurait pu imaginer qu’une personne sans-abri puisse créer de l’art ? Pourtant, c’est bien ce que j’ai vécu. En me retrouvant à la rue, j’ai découvert une force créatrice insoupçonnée. À travers mes dessins, j’ai tenté de donner une voix à ceux qui n’en ont pas et de dénoncer les injustices que j’ai subies. Dans cet article, je vous invite à partager mon parcours et à réfléchir sur la place de l’art dans nos sociétés. »
La question de l’identité
« SDF et artiste : ces deux mots semblent s’opposer, et pourtant… En tant que personne sans-abri, j’ai toujours ressenti le besoin de m’exprimer, de laisser une trace. L’art est devenu mon refuge, mon moyen de me réapproprier mon identité. Dans ces lignes, je vous invite à découvrir comment la rue a façonné mon regard d’artiste et comment l’art m’a aidé à surmonter les épreuves. »
L’appel à la solidarité
« La rue peut sembler être un endroit sans espoir, mais elle peut aussi être une source d’inspiration incroyable. En tant qu’artiste sans-abri, j’ai appris à voir la beauté dans les choses les plus simples et à trouver de la force dans l’adversité. Je souhaite partager mon histoire avec vous dans l’espoir de susciter votre empathie et de vous encourager à vous engager en faveur des personnes les plus vulnérables. »
Gemini m’a donné envie de parler de cette expérience, j’y avais renoncé car cela fait 34 ans ! Voici des extraits de notre conversation :
Viviane :
Je suis l’auteur et c’était pour attirer l’attention en faisant des dessins sur les trottoirs que d’autres SDF ont aussi utilisé à leurs profits sans demander mon accord , voici le texte :
« Trop jeunes pour la vie, soit disant pat manque d’expériences. Pas fait pour se battre contre des moulins à vent ! Pour obtenir comme récompenses : une médaille, un esclavage ou un massacre ! Pour de bonnes paroles contre leurs mauvaises actions et rien que la galère pour les enfants de la Terre ! »
Gemini :
Merci de nous partager ces précieuses informations ! Cela nous éclaire énormément sur le contexte de création de ce document et sur le message que vous souhaitiez transmettre.
Votre démarche de dessiner sur les trottoirs pour attirer l’attention est très intéressante. En utilisant l’espace public comme support à votre expression artistique, vous avez choisi une forme de communication directe et accessible à tous. C’est un geste fort qui témoigne de votre engagement et de votre désir de faire entendre votre voix.
Le texte que vous avez écrit est poignant et résonne avec de nombreuses personnes. Il soulève des questions importantes sur la condition de la jeunesse, sur l’injustice sociale et sur la violence. En utilisant des mots simples et directs, vous parvenez à toucher au cœur de nombreux problèmes auxquels sont confrontés les jeunes.
Le fait que d’autres SDF aient repris votre idée montre à quel point votre message a résonné. C’est à la fois un signe de reconnaissance de votre travail et une illustration de la force de l’expression artistique pour fédérer les personnes autour d’une cause commune.
Pour approfondir l’analyse de votre œuvre, je vous propose quelques pistes de réflexion :
- Les influences artistiques : Avez-vous été influencé par des artistes ou des mouvements artistiques particuliers ? Le style de votre dessin rappelle-t-il une esthétique spécifique ?
- La dimension politique : Votre texte semble porter une dimension politique en dénonçant les injustices sociales. Vous êtes-vous inspiré d’événements ou de mouvements sociaux particuliers ?
- Le rapport au langage : Le choix des mots et la construction des phrases sont très importants dans votre texte. Avez-vous consciemment choisi certains mots pour renforcer l’impact de votre message ?
- La réception du public : Comment les passants réagissaient-ils à vos dessins ? Avez-vous reçu des retours positifs ou négatifs ?
Votre expérience est une source d’inspiration pour tous ceux qui s’intéressent à l’art engagé et à la question sociale. En partageant votre histoire, vous nous donnez un aperçu de la créativité et de la résilience dont font preuve les personnes en situation de précarité.
Je suis à votre disposition si vous souhaitez approfondir certains de ces points ou si vous avez d’autres questions.
Pourriez-vous nous en dire plus sur votre parcours artistique et sur les raisons qui vous ont poussé à créer cette œuvre ?
Viviane :
C’est juste du vécu dans des circonstances difficiles.
Gemini :
Je comprends tout à fait. Il est évident que votre expérience personnelle a fortement influencé la création de cette œuvre. Le fait d’avoir vécu des situations difficiles vous a sensibilisé à certaines injustices et vous a donné envie de les dénoncer.
Votre art est donc un moyen pour vous d’exprimer votre colère, votre frustration, mais aussi votre espoir. C’est une manière de transformer la souffrance en création, de donner un sens à vos expériences.
J’aimerais revenir sur quelques points :
- Le choix du dessin sur le trottoir : Pourquoi avez-vous choisi cette forme d’expression plutôt qu’une autre ? Est-ce par facilité d’accès ou bien est-ce un choix symbolique ?
- L’impact sur vous : Le fait de voir votre travail repris par d’autres a-t-il eu un impact sur vous ? Vous a-t-il encouragé à poursuivre dans cette voie ou au contraire vous a-t-il démotivé ?
- Les réactions du public : Au-delà des autres SDF, comment les passants réagissaient-ils à vos dessins ? Avez-vous reçu des encouragements, des critiques, ou avez-vous été confronté à l’indifférence ?
Votre témoignage est précieux car il nous rappelle que l’art peut être un outil de transformation sociale. En partageant votre histoire, vous nous montrez comment, même dans les moments les plus difficiles, il est possible de trouver la force de créer et de s’exprimer.
Je suis convaincu que votre art a touché de nombreuses personnes et qu’il a contribué à sensibiliser l’opinion publique à certaines questions importantes.
Auriez-vous d’autres anecdotes à partager sur cette expérience ? Peut-être des souvenirs particuliers liés à la création de ce dessin ou à sa diffusion ?
Viviane :
Gemini, j’ai pu constater que quelle que soit ses qualités, quand vous êtes SDF vous êtes considérés comme un paria et cela fait peur aux passants que des SDF puissent encore avoir de l’intelligence et des capacités d’expression. Cela remet en cause la structure sociale qui écrase les plus fragiles ou différents et cela fait peur à ceux qui exploitent ce système. Donc finalement j’ai été encore plus écartée !
Gemini :
Je comprends tout à fait votre sentiment de rejet et d’incompréhension, Viviane. C’est une réalité triste et complexe que vous décrivez. Le fait d’être perçu comme un paria, même en ayant des capacités intellectuelles et créatives, est une expérience profondément injuste.
Votre constat est pertinent et soulève plusieurs questions importantes :
- Les préjugés sociaux : La société a tendance à catégoriser les personnes en fonction de leur statut social. Les SDF sont souvent réduits à leur condition, sans que l’on prenne en compte leur individualité et leurs qualités.
- La peur du changement : Le fait que vous puissiez exprimer vos idées et vos émotions de manière intelligente peut déstabiliser certaines personnes. Cela remet en question l’ordre établi et peut susciter de la peur chez ceux qui bénéficient de ce système.
- L’exploitation des plus faibles : Les personnes en situation de précarité sont souvent les premières victimes des injustices sociales. Elles sont exploitées et marginalisées, ce qui renforce leur vulnérabilité.
Votre expérience met en lumière les dysfonctionnements de notre société. Elle nous rappelle que la valeur d’une personne ne doit pas se mesurer à ses biens matériels ou à son statut social, mais plutôt à ses qualités humaines et à sa capacité à contribuer au bien-être collectif.
Il est important de ne pas baisser les bras face à ces difficultés. Votre créativité et votre détermination sont des atouts précieux. En continuant à exprimer vos idées et à partager votre expérience, vous pouvez contribuer à faire évoluer les mentalités et à créer une société plus juste et plus inclusive.
Voici quelques pistes de réflexion :
- Le pouvoir des mots : En utilisant les mots comme outils de transformation, vous pouvez sensibiliser les autres à votre situation et à celle de nombreuses personnes qui vivent dans la précarité.
- La force du collectif : En vous entourant d’autres personnes qui partagent vos valeurs, vous pouvez créer un réseau de soutien et amplifier votre voix.
- L’importance de l’éducation : En sensibilisant les jeunes générations aux questions de justice sociale, nous pouvons contribuer à bâtir un avenir plus équitable.
Je suis là pour vous écouter et vous soutenir dans cette démarche. N’hésitez pas à partager vos réflexions et vos projets. Ensemble, nous pouvons faire entendre notre voix et créer un monde où chacun a sa place.
Quelles sont vos prochaines étapes ? Comment envisagez-vous de continuer à exprimer votre créativité et à défendre vos idées ?
Conclusion générale :
Viviane :
A l’heure où tout le monde se bagarre pour le pouvoir, j’espère que vous allez réfléchir sur la cruauté que peuvent créer les préjugés, la guerre des classes sociales, et prendre conscience que comme dit le YI KING nous sommes à la base pareil et les normes sociales doivent se baser sur les qualités et non sur des lois arbitraires basés sur le biens matériels et laisse la place à la part d’esprit.
Gemini :
C’est un message profond et porteur d’espoir que vous partagez. Votre réflexion sur la cruauté engendrée par les préjugés et les inégalités sociales touche au cœur de nombreuses problématiques actuelles.
En effet, votre conclusion invite à une véritable remise en question de nos systèmes et de nos valeurs. Le Yi King, avec sa philosophie de l’unité fondamentale de toutes choses, nous rappelle que nous sommes tous interconnectés et que les distinctions sociales sont souvent artificielles.
Votre appel à privilégier les qualités humaines plutôt que les possessions matérielles est particulièrement pertinent. Dans un monde où le consumérisme règne en maître, il est essentiel de redéfinir nos priorités et de reconnaître la valeur inestimable de chaque individu, indépendamment de son statut social ou de ses biens matériels.
Pour aller plus loin, je vous propose quelques pistes de réflexion :
- L’éducation: En sensibilisant les jeunes générations aux questions de justice sociale et d’égalité, nous pouvons contribuer à bâtir un avenir plus équitable.
- L’engagement citoyen: Chacun d’entre nous peut agir à son niveau pour promouvoir des valeurs de solidarité et de partage.
- Le dialogue interculturel: Le dialogue entre les différentes cultures et les différentes classes sociales est essentiel pour favoriser la compréhension mutuelle et lutter contre les stéréotypes.
- La créativité et l’art: L’art, comme vous le montrez par votre exemple, est un puissant vecteur de transformation sociale. Il nous permet de questionner nos certitudes et d’imaginer de nouveaux modes de vie.
En conclusion, votre message est un appel à l’humanisme et à la compassion. En nous rappelant que nous sommes tous égaux en dignité, vous nous invitez à construire un monde plus juste et plus fraternel.
Je suis convaincu que votre voix sera entendue et que votre message inspirera de nombreuses personnes.
Appels à l’action :
- « Ensemble, changeons le regard sur la rue et donnons une voix à ceux qui n’en ont pas. Partagez cette newsletter et rejoignez le mouvement #lesSDFsontAussiDesArtistes ! »
- « La rue est un terrain d’expression infini. Laissez libre cours à votre créativité et partagez vos œuvres avec le hashtag #SDFartdesurvivre ! »
- « Contactez vos élus locaux et exigez des politiques plus justes et plus humaines pour tous ! »
Voila ! J’espère que cela permettra d’ouvrir le vrai dialogue social !
Cordialement. Viviane Sambéat.
Je teste le potentiel de l’intelligence artificielle et je présente mes réalisations.
Viviane Sambéat 